Évangile du dimanche 28 mai 2023

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 20, 19-23

C’était après la mort de Jésus ; le soir venu, en ce premier jour de la semaine, alors que les portes du lieu où se trouvaient les disciples étaient verrouillées par crainte des Juifs, Jésus vint, et il était là au milieu d’eux. Il leur dit : « La paix soit avec vous ! »

Après cette parole, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie en voyant le Seigneur. Jésus leur dit de nouveau : « La paix soit avec vous ! De même que le Père m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie. » Ayant ainsi parlé, il souffla sur eux et il leur dit : « Recevez l’Esprit Saint. À qui vous remettrez ses péchés, ils seront remis ; à qui vous maintiendrez ses péchés, ils seront maintenus. »

Évangile du dimanche 21 mai 2023

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 17, 1b-11a

En ce temps-là, Jésus leva les yeux au ciel et dit : « Père, l’heure est venue. Glorifie ton Fils afin que le Fils te glorifie. Ainsi, comme tu lui as donné pouvoir sur tout être de chair, il donnera la vie éternelle à tous ceux que tu lui as donnés. Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. Moi, je t’ai glorifié sur la terre en accomplissant l’œuvre que tu m’avais donnée à faire. Et maintenant, glorifie-moi auprès de toi, Père, de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde existe. J’ai manifesté ton nom aux hommes que tu as pris dans le monde pour me les donner. Ils étaient à toi, tu me les as donnés, et ils ont gardé ta parole. Maintenant, ils ont reconnu que tout ce que tu m’as donné vient de toi, car je leur ai donné les paroles que tu m’avais données : ils les ont reçues, ils ont vraiment reconnu que je suis sorti de toi, et ils ont cru que tu m’as envoyé.

Moi, je prie pour eux ; ce n’est pas pour le monde que je prie, mais pour ceux que tu m’as donnés, car ils sont à toi. Tout ce qui est à moi est à toi, et ce qui est à toi est à moi ; et je suis glorifié en eux. Désormais, je ne suis plus dans le monde ; eux, ils sont dans le monde, et moi, je viens vers toi. »

Évangile du dimanche 7 mai 2023

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 14, 1-12

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Que votre cœur ne soit pas bouleversé : vous croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Dans la maison de mon Père, il y a de nombreuses demeures ; sinon, vous aurais-je dit : ‘Je pars vous préparer une place’ ? Quand je serai parti vous préparer une place, je reviendrai et je vous emmènerai auprès de moi, afin que là où je suis, vous soyez, vous aussi. Pour aller où je vais, vous savez le chemin. »

Thomas lui dit : « Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment pourrions-nous savoir le chemin ? » Jésus lui répond : « Moi, je suis le Chemin, la Vérité et la Vie ; personne ne va vers le Père sans passer par moi. Puisque vous me connaissez, vous connaîtrez aussi mon Père. Dès maintenant vous le connaissez, et vous l’avez vu. »

Philippe lui dit : « Seigneur, montre-nous le Père ; cela nous suffit. » Jésus lui répond : « Il y a si longtemps que je suis avec vous, et tu ne me connais pas, Philippe ! Celui qui m’a vu a vu le Père. Comment peux-tu dire : ‘Montre-nous le Père’ ? Tu ne crois donc pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ! Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même ; le Père qui demeure en moi fait ses propres œuvres. Croyez-moi : je suis dans le Père, et le Père est en moi ; si vous ne me croyez pas, croyez du moins à cause des œuvres elles-mêmes. Amen, amen, je vous le dis : celui qui croit en moi fera les œuvres que je fais. Il en fera même de plus grandes, parce que je pars vers le Père »

 

Merci : geste de Miséricorde

Comme geste de Miséricorde, nous te proposons de sortir et d’ouvrir grand tes bras. Tu peux dire à pleins poumons « Merci » au Seigneur miséricordieux pour la Vie et ensuite aller dire « Merci » à un autre enfant, à un adulte pour une chose que tu apprécies (son écoute, sa joie, son aide, sa présence, etc.).

François, Jacinthe et Lucie, les enfants de Fatima

 

Le 13 mai 1917, au Portugal, trois enfants François (9 ans), Jacinthe (7 ans), et Lucie (10 ans), gardent leurs brebis sur les collines de Fatima.

Après avoir récité le chapelet, comme ils le font chaque jour, à l’heure de midi, les trois enfants voient une Dame mer­veilleu­se­ment bel­le, debout, enve­lop­pée de lumiè­re. Elle paraît tou­te jeu­ne, à pei­ne dix-huit ans. De ses mains join­tes pend un long cha­pe­let. Elle sem­ble prier.

Lucie ose demander à la Dame : « D’où venez-vous ? Que voulez-vous de moi ? » La Dame répond qu’elle vient du ciel et désire que les enfants reviennent dans ce lieu, le 13 de chaque mois, durant six mois. Elle apparaît donc six fois en 1917, aux petits pastoureaux. Lucie, François et Jacinthe étaient des enfants ordinaires, qui ont pris part à un événement extraordinaire.

La Vierge Marie demande aux trois enfants de prier le chapelet, chaque jour, et de faire pénitence c’est-à-dire à d’offrir des souffrances ou des petites choses qu’ils aimeraient faire ou prendre et qu’ils ne prennent pas ou ne font pas en offrant « ce cadeau » pour les pécheurs, pour que les hommes et les femmes qui ne pensent pas Dieu, qui n’aiment pas Dieu reviennent à lui.

Déjà, avant les apparitions de la Vierge Marie, un jour du printemps 1916, un Ange était apparu aux trois petits bergers. L’Ange avait dit par trois fois et leur avait enseigné cette prière : « Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je vous aime ! Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas, qui ne vous aiment pas ! »

Le 13 mai 2017, François et Jacinthe ont été proclamés saints par le Pape François.

Évangile du dimanche 30 avril 2023

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 10, 1-10

En ce temps-là, Jésus déclara : « Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans l’enclos des brebis sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là est un voleur et un bandit. Celui qui entre par la porte, c’est le pasteur, le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a poussé dehors toutes les siennes, il marche à leur tête, et les brebis le suivent, car elles connaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un étranger, mais elles s’enfuiront loin de lui, car elles ne connaissent pas la voix des étrangers. »

Jésus employa cette image pour s’adresser aux pharisiens, mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait. C’est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis. Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance. »