Évangile du dimanche 19 octobre 2025

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 18, 1-8

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples une parabole sur la nécessité pour eux de toujours prier sans se décourager : « Il y avait dans une ville un juge qui ne craignait pas Dieu et ne respectait pas les hommes. Dans cette même ville, il y avait une veuve qui venait lui demander : ‘Rends-moi justice contre mon adversaire.’ Longtemps il refusa ; puis il se dit : ‘Même si je ne crains pas Dieu et ne respecte personne, comme cette veuve commence à m’ennuyer, je vais lui rendre justice pour qu’elle ne vienne plus sans cesse m’assommer.’ »

Le Seigneur ajouta : « Écoutez bien ce que dit ce juge dépourvu de justice ! Et Dieu ne ferait pas justice à ses élus, qui crient vers lui jour et nuit ? Les fait-il attendre ? Je vous le déclare : bien vite, il leur fera justice. Cependant, le Fils de l’homme, quand il viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »

 

Carton d’invitation à vivre la Messe

En octobre, nous prions pour les missionnaires dans le monde.

Comme geste de Miséricorde, nous te proposons de réaliser un beau carton d’invitation pour inviter un de tes copains ou copines qui ne connaît pas encore ou pas bien Jésus à venir vivre une Messe avec toi. Tu pourras ensuite lui parler, écouter ses questions, ce qu’il a aimé à la Messe. Ainsi, tu seras toi aussi « missionnaire ».

Photo : susan-lu4esm – pixabay

Évangile du dimanche 12 octobre 2025

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 17, 11-19

En ce temps-là, Jésus, marchant vers Jérusalem, traversait la région située entre la Samarie et la Galilée. Comme il entrait dans un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre. Ils s’arrêtèrent à distance et lui crièrent : « Jésus, maître, prends pitié de nous. » À cette vue, Jésus leur dit : « Allez vous montrer aux prêtres. » En cours de route, ils furent purifiés.

L’un d’eux, voyant qu’il était guéri, revint sur ses pas, en glorifiant Dieu à pleine voix. Il se jeta face contre terre aux pieds de Jésus en lui rendant grâce. Or, c’était un Samaritain.

Alors Jésus prit la parole en disant : « Tous les dix n’ont-ils pas été purifiés ? Les neuf autres, où sont-ils ?  Il ne s’est trouvé parmi eux que cet étranger pour revenir sur ses pas et rendre gloire à Dieu ! » Jésus lui dit : « Relève-toi et va : ta foi t’a sauvé. »

saint Jean Paul II Ami de Miséricorde

Sa fête est le 22 octobre. 

Karol Józef Wojtyła devient le pape Jean-Paul II, en octobre 1978.

Karol est né le 18 mai 1920, à Wadowice, petite ville située à 50 km de Cracovie, en Pologne. Il est baptisé le 20 juin 1920, dans l’église de Wadowice, par le prêtre François Zak. Il fait sa première communion à 9 ans et reçoit la confirmation à 18 ans.

Karol décide de répondre « oui » à l’appel du Seigneur et devient prêtre. Quelques années après, le Pape Paul VI demande à Karol d’être archevêque de Cracovie et cardinal. Karol participe au Concile Vatican II qui est un moment important pour toute l’Église.

Le 16 octobre 1978, Karol est élu pape et décide de s’appeler Jean-Paul II. Le Pape Jean-Paul II est un grand Ami de Miséricorde.  Il permet aux catholiques du monde de connaître sœur Faustine, religieuse polonaise à qui Jésus a révélé Sa Miséricorde, car il la canonise en l’an 2000. Puis, il décide de créer le Dimanche de la Miséricorde (Dimanche après Pâques ou Jésus invite Saint Thomas à croire en Lui).

Le Pape Jean-Paul II annonce l’Évangile partout dans le monde. Il dialogue avec les personnes de toutes les religions et il les invite, parfois, à prier avec lui, par exemple à Assise. Il aime beaucoup les jeunes et crée en 1985 les Journées mondiales de la Jeunesse. Il aime aussi beaucoup les familles et créée les Rencontres mondiales des Familles, en 1994.

Homme de Miséricorde, il pardonne à son agresseur qui a essayé de le tuer, le 13 mai 1981, sur la place Saint Pierre à Rome.

Le Pape Jean-Paul II, grand Ami de Jésus Miséricordieux, meurt au Vatican, le 2 avril 2005, à 21 h 37, veille du Dimanche de la Divine Miséricorde.  

Il est canonisé par le Pape François le 27 avril 2014.

Évangile du dimanche 28 septembre

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 16, 19-31

En ce temps-là, Jésus disait aux pharisiens : « Il y avait un homme riche, vêtu de pourpre et de lin fin, qui faisait chaque jour des festins somptueux. Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare, qui était couvert d’ulcères. Il aurait bien voulu se rassasier de ce qui tombait de la table du riche ; mais les chiens, eux, venaient lécher ses ulcères.

Or le pauvre mourut, et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham. Le riche mourut aussi, et on l’enterra. Au séjour des morts, il était en proie à la torture ; levant les yeux, il vit Abraham de loin et Lazare tout près de lui. Alors il cria : ‘Père Abraham, prends pitié de moi et envoie Lazare tremper le bout de son doigt dans l’eau pour me rafraîchir la langue, car je souffre terriblement dans cette fournaise. 

Mon enfant, répondit Abraham, rappelle-toi : tu as reçu le bonheur pendant ta vie, et Lazare, le malheur pendant la sienne. Maintenant, lui, il trouve ici la consolation, et toi, la souffrance. Et en plus de tout cela, un grand abîme a été établi entre vous et nous, pour que ceux qui voudraient passer vers vous ne le puissent pas, et que, de là-bas non plus, on ne traverse pas vers nous.’

Le riche répliqua : ‘Eh bien ! père, je te prie d’envoyer Lazare dans la maison de mon père. En effet, j’ai cinq frères : qu’il leur porte son témoignage, de peur qu’eux aussi ne viennent
dans ce lieu de torture !’ Abraham lui dit : ‘Ils ont Moïse et les Prophètes : qu’ils les écoutent !

Non, père Abraham, dit-il, mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver, ils se convertiront.’ Abraham répondit : ‘S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes, quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts : ils ne seront pas convaincus.’ »

 

Évangile du dimanche 21 septembre 2025

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 16, 10-13

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est malhonnête dans la moindre chose est malhonnête aussi dans une grande.

Si donc vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête, qui vous confiera le bien véritable ? Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance,
ce qui vous revient, qui vous le donnera ? Aucun domestique ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. »