Geste de Miséricorde : la joie de la réconciliation

Comme geste de Miséricorde, nous te proposons de goûter la joie de la réconciliation.

Se réconcilier avec Dieu ou avec une personne, c’est renouer des liens. Quand on fait du mal à quelqu’un l’amour ne circule plus, c’est comme si un grand fossé nous séparait de Dieu ou d’une personne.

Parfois, on vit sans penser du tout à Dieu, on s’éloigne de Lui, mais Dieu nous aime, il attend avec impatience que l’on revienne à Lui.

Tu peux voir un prêtre pour accueillir le Pardon de Dieu, le sacrement de la réconciliation, après t’être préparé. Jésus te donne sa Miséricorde, c’est-à-dire son amour infini qui te console, te refait à neuf, te délivre de ce qui te pèse, te rend triste. Si tu sais que tu as fait de la peine à une personne, tu peux aller lui demander pardon. Et si quelqu’un t’a fait du mal, tu peux, au fond de ton cœur, décider de ne pas te venger et de lui pardonner. Tu goûteras la grande Joie de la Miséricorde.

Geste de miséricorde : attentif à un malade

Le 11 février, fête de Notre Dame de Lourdes, est aussi la journée mondiale des malades.

Comme geste de Miséricorde, nous te proposons d’être attentif à un enfant malade ou handicapé que tu connais ou à une personne malade, âgée que tu croises. Prendre un peu de ton temps : un sourire, un bonjour… écouter avec attention, dialoguer… donner un dessin ou quelque chose que tu auras fait.

Sainte Véronique

Sa fête est le 4 février.

Selon la tradition chrétienne, Véronique est une des femmes qui suivent Jésus. Dans le chemin de Croix, à la sixième station, on parle de sainte Véronique.

Véronique Aime le Seigneur, alors elle souffre de voir Jésus souffrir quand il porte sa Croix, au moment de sa Passion, pour sauver tous les hommes du monde et de tous les siècles.

Sainte Véronique a un cœur plein de Miséricorde. Elle voit le visage du Seigneur Jésus plein de sang, mais toujours doux et humble. Alors, pour aider un peu Jésus, elle prend un linge et essaie d’essuyer le sang et la sueur de son visage. Le morceau d’étoffe blanche (son voile) dont Véronique se servit pour essuyer avec amour le Visage de Jésus aurait gardé l’empreinte de son Visage.