saint Jean Paul II Ami de Miséricorde

Sa fête est le 22 octobre. 

Karol Józef Wojtyła devient le pape Jean-Paul II, en octobre 1978.

Karol est né le 18 mai 1920, à Wadowice, petite ville située à 50 km de Cracovie, en Pologne. Il est baptisé le 20 juin 1920, dans l’église de Wadowice, par le prêtre François Zak. Il fait sa première communion à 9 ans et reçoit la confirmation à 18 ans.

Karol décide de répondre « oui » à l’appel du Seigneur et devient prêtre. Quelques années après, le Pape Paul VI demande à Karol d’être archevêque de Cracovie et cardinal. Karol participe au Concile Vatican II qui est un moment important pour toute l’Église.

Le 16 octobre 1978, Karol est élu pape et décide de s’appeler Jean-Paul II. Le Pape Jean-Paul II est un grand Ami de Miséricorde.  Il permet aux catholiques du monde de connaître sœur Faustine, religieuse polonaise à qui Jésus a révélé Sa Miséricorde, car il la canonise en l’an 2000. Puis, il décide de créer le Dimanche de la Miséricorde (Dimanche après Pâques ou Jésus invite Saint Thomas à croire en Lui).

Le Pape Jean-Paul II annonce l’Évangile partout dans le monde. Il dialogue avec les personnes de toutes les religions et il les invite, parfois, à prier avec lui, par exemple à Assise. Il aime beaucoup les jeunes et crée en 1985 les Journées mondiales de la Jeunesse. Il aime aussi beaucoup les familles et créée les Rencontres mondiales des Familles, en 1994.

Homme de Miséricorde, il pardonne à son agresseur qui a essayé de le tuer, le 13 mai 1981, sur la place Saint Pierre à Rome.

Le Pape Jean-Paul II, grand Ami de Jésus Miséricordieux, meurt au Vatican, le 2 avril 2005, à 21 h 37, veille du Dimanche de la Divine Miséricorde.  

Il est canonisé par le Pape François le 27 avril 2014.

Évangile du dimanche 28 septembre

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 16, 19-31

En ce temps-là, Jésus disait aux pharisiens : « Il y avait un homme riche, vêtu de pourpre et de lin fin, qui faisait chaque jour des festins somptueux. Devant son portail gisait un pauvre nommé Lazare, qui était couvert d’ulcères. Il aurait bien voulu se rassasier de ce qui tombait de la table du riche ; mais les chiens, eux, venaient lécher ses ulcères.

Or le pauvre mourut, et les anges l’emportèrent auprès d’Abraham. Le riche mourut aussi, et on l’enterra. Au séjour des morts, il était en proie à la torture ; levant les yeux, il vit Abraham de loin et Lazare tout près de lui. Alors il cria : ‘Père Abraham, prends pitié de moi et envoie Lazare tremper le bout de son doigt dans l’eau pour me rafraîchir la langue, car je souffre terriblement dans cette fournaise. 

Mon enfant, répondit Abraham, rappelle-toi : tu as reçu le bonheur pendant ta vie, et Lazare, le malheur pendant la sienne. Maintenant, lui, il trouve ici la consolation, et toi, la souffrance. Et en plus de tout cela, un grand abîme a été établi entre vous et nous, pour que ceux qui voudraient passer vers vous ne le puissent pas, et que, de là-bas non plus, on ne traverse pas vers nous.’

Le riche répliqua : ‘Eh bien ! père, je te prie d’envoyer Lazare dans la maison de mon père. En effet, j’ai cinq frères : qu’il leur porte son témoignage, de peur qu’eux aussi ne viennent
dans ce lieu de torture !’ Abraham lui dit : ‘Ils ont Moïse et les Prophètes : qu’ils les écoutent !

Non, père Abraham, dit-il, mais si quelqu’un de chez les morts vient les trouver, ils se convertiront.’ Abraham répondit : ‘S’ils n’écoutent pas Moïse ni les Prophètes, quelqu’un pourra bien ressusciter d’entre les morts : ils ne seront pas convaincus.’ »

 

Évangile du dimanche 21 septembre 2025

Évangile de Jésus Christ selon saint Luc 16, 10-13

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Celui qui est digne de confiance dans la moindre chose est digne de confiance aussi dans une grande. Celui qui est malhonnête dans la moindre chose est malhonnête aussi dans une grande.

Si donc vous n’avez pas été dignes de confiance pour l’argent malhonnête, qui vous confiera le bien véritable ? Et si, pour ce qui est à autrui, vous n’avez pas été dignes de confiance,
ce qui vous revient, qui vous le donnera ? Aucun domestique ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra l’un et aimera l’autre, ou bien il s’attachera à l’un et méprisera l’autre. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent. »