Évangile du dimanche 12 mai

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 17, 11b-19

En ce temps-là, les yeux levés au ciel, Jésus priait ainsi : « Père saint, garde mes disciples unis dans ton nom, le nom que tu m’as donné, pour qu’ils soient un, comme nous-mêmes. Quand j’étais avec eux, je les gardais unis dans ton nom, le nom que tu m’as donné. J’ai veillé sur eux, et aucun ne s’est perdu, sauf celui qui s’en va à sa perte de sorte que l’Écriture soit accomplie. Et maintenant que je viens à toi, je parle ainsi, dans le monde, pour qu’ils aient en eux ma joie, et qu’ils en soient comblés.

Moi, je leur ai donné ta parole, et le monde les a pris en haine parce qu’ils n’appartiennent pas au monde, de même que moi je n’appartiens pas au monde. Je ne prie pas pour que tu les retires du monde, mais pour que tu les gardes du Mauvais. Ils n’appartiennent pas au monde, de même que moi, je n’appartiens pas au monde. Sanctifie-les dans la vérité : ta parole est vérité. De même que tu m’as envoyé dans le monde, moi aussi, je les ai envoyés dans le monde. Et pour eux je me sanctifie moi-même, afin qu’ils soient, eux aussi, sanctifiés dans la vérité. »

Bonne fête maman

Dimanche 26 mai,  c’est la fête des mères.

En mai, comme geste de miséricorde, nous te proposons d’imprimer « Bonne fête maman » ci-dessous et d’écrire dans chaque pétale de la marguerite ce que tu aimes chez ta maman (par exemple : sourire, patience, joie, accueil, bonté, douceur, son écoute, elle te fait connaître Jésus et la Vierge Marie, grâce à elle, tu apprends des choses, elle t’aide à grandir, etc.).

Ta maman sera heureuse de recevoir ton cadeau.

Bonne fête maman

Vierge Marie Mère de Miséricorde

La Vierge Marie est mère de Miséricorde, car elle est la maman de Jésus, le Visage de la Miséricorde du Père.

Marie sait que Dieu l’a comblée de Sa Miséricorde, comblée de grâce et dans son cantique du Magnificat elle chante la Miséricorde de Dieu pour elle et pour tous les hommes et les femmes de tous les siècles : « Sa Miséricorde s’étend d’âge en âge » (Luc 1, 50).

La Vierge Marie est mère de Miséricorde, car lorsque Jésus est sur la Croix il dit à Marie sa Mère « Femme, voici ton fils » et à Jean « Fils, voici ta mère ». En confiant saint Jean à la Vierge Marie, c’est toi, c’est chaque personne que Jésus confie à Marie. La Vierge Marie est notre maman du Ciel, elle prie pour nous et tout spécialement pour les pécheurs c’est-à-dire ceux qui sont loin de Dieu.

Marie a un cœur tout empli de Miséricorde. Elle écoute la Parole de Dieu et dit oui, dans la foi à Dieu, lorsque l’Ange Gabriel lui dit de la part de Dieu : « Le Seigneur t’a choisie pour être la Mère du Sauveur ». Juste après, elle part en hâte vers sa vieille cousine Élisabeth qui attendait un enfant pour partager sa Joie de devenir la Mère du Sauveur, partager la Joie d’Élisabeth et lui rendre service car Élisabeth en est au sixième mois de grossesse. A Cana, la Vierge Marie voit que les mariés n’ont plus de vin ; elle sollicite Jésus son Fils et va aussi parler aux serviteurs « Quoiqu’il vous dise, faites-le » (Jn 2,5). Le saint Curé d’Ars disait : « dans le cœur de la Vierge Marie il n’y a que la Miséricorde ».

Un enfant Saint Dominique Savio disait « Jésus et Marie sont mes meilleurs amis ». La Vierge Marie est pour toi une Amie de Miséricorde. Tu peux lui parler avec tes mots, lui confier tes joies, tes soucis, tes désirs. 

Évangile du dimanche 5 mai

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 15, 9-17

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous ai aimés. Demeurez dans mon amour. Si vous gardez mes commandements, vous demeurerez dans mon amour, comme moi, j’ai gardé les commandements de mon Père, et je demeure dans son amour. Je vous ai dit cela pour que ma joie soit en vous, et que votre joie soit parfaite.

Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ceux qu’on aime. Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître. Ce n’est pas vous qui m’avez choisi, c’est moi qui vous ai choisis et établis afin que vous alliez, que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure. Alors, tout ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donnera. Voici ce que je vous commande : c’est de vous aimer les uns les autres. »

 

Évangile du dimanche 28 avril 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 15, 1-8

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ; tout sarment qui porte du fruit, il le purifie en le taillant, pour qu’il en porte davantage. Mais vous, déjà vous voici purifiés grâce à la parole que je vous ai dite. Demeurez en moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi.

Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire. Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment, jeté dehors, et il se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent. Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous. Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous portiez beaucoup de fruit et que vous soyez pour moi des disciples. »

 

Évangile du dimanche 22 avril 2024

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 10, 11-18

En ce temps-là, Jésus déclara : « Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis.

J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. »