Évangile du dimanche 25 novembre 2018

Évangile de Jésus Christ selon saint Jean 8, 33b-37

En ce temps-là, Pilate appela Jésus et lui dit : « Es-tu le roi des Juifs ? »
Jésus lui demanda : « Dis-tu cela de toi-même, ou bien d’autres te l’ont dit à mon sujet ? »
Pilate répondit : « Est-ce que je suis juif, moi ? Ta nation et les grands prêtres t’ont livré à moi : qu’as-tu donc fait ? »
Jésus déclara : « Ma royauté n’est pas de ce monde ; si ma royauté était de ce monde, j’aurais des gardes qui se seraient battus pour que je ne sois pas livré aux Juifs. En fait, ma royauté n’est pas d’ici. »
Pilate lui dit : « Alors, tu es roi ? »
Jésus répondit : « C’est toi-même qui dis que je suis roi. Moi, je suis né, je suis venu dans le monde pour ceci : rendre témoignage à la vérité. Quiconque appartient à la vérité écoute ma voix. »

Saint Martin de Porres

illustration saint martin de porres

La fête de Saint Martin de Porres est le 3 novembre

Martin est né le 9 décembre 1579 à Lima, au Pérou d’un papa espagnol et d’une maman, ancienne esclave noire. Comme il est métis, les personnes le méprisent et ne sont pas gentilles avec lui.
Dès son adolescence, Martin partage son pain avec les pauvres. A 22 ans, il devient frère dominicain à Lima. Il est un infirmier compétent et très patient avec les malades. Il soigne ses frères dominicains avec une grande affection et efficacité, tout en restant très humble.
Martin aide beaucoup les pauvres. Ses journées se passent à les recevoir, les écouter et les aider. Martin crée une école pour les enfants très pauvres et leur permet ainsi d’apprendre un métier. Il crée aussi un jardin de figuiers ouvert en libre accès à tous les pauvres.
Sa bonté envers les chiens, les chats, les souris et même les dindons est immense, ce qui le rend très populaire auprès des habitants du Pérou.
Toute sa vie prie Martin prie beaucoup le Seigneur. Quand il devient frère dominicain, il prie des heures, spécialement le soir, devant le Saint Sacrement.
Il est mort le 3 novembre 1639. Il a été canonisé en 1962 par le saint Pape Jean 23.

Évangile du dimanche 4 novembre 2018

Évangile de Jésus Christ selon saint Marc

En ce temps-là, un scribe s’avança vers Jésus pour lui demander : « Quel est le premier de tous les commandements ? »
Jésus lui fit cette réponse : « Voici le premier : Écoute, Israël : le Seigneur notre Dieu est l’unique Seigneur. Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de tout ton esprit et de toute ta force.
Et voici le second : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. Il n’y a pas de commandement plus grand que ceux-là. »
Le scribe reprit : « Fort bien, Maître, tu as dit vrai : Dieu est l’Unique et il n’y en a pas d’autre que lui. L’aimer de tout son cœur, de toute son intelligence, de toute sa force,
et aimer son prochain comme soi-même, vaut mieux que toute offrande d’holocaustes et de sacrifices. »
Jésus, voyant qu’il avait fait une remarque judicieuse, lui dit : « Tu n’es pas loin du royaume de Dieu. » Et personne n’osait plus l’interroger.